L’acquisition d’une parcelle PRL dans le Tarn est avantageuse sur plusieurs plans, mais le prix peut varier en fonction de la situation géographique du site, la taille des parcelles et de la qualité des infrastructures proposées. Même si l’acquisition d’une résidence secondaire est le rêve de beaucoup de Français, l’investissement dans un bien en PRL est relativement intéressant que l’achat d’une maison de campagne. Avec les impôts et taxes divers, le remboursement des prêts, les travaux de rénovation et d’entretien, et autres dépenses supplémentaires, l’investissement dans des résidences secondaires traditionnelles comporte des risques assez élevés. Par contre, voici quelques charges que les propriétaires de parcelles en PRL doivent s’acquitter.
Les charges de fonctionnement d’un PRL dans le Tarn
Le PRL est une copropriété, dont les charges ne sont pas supportées par le gestionnaire, mais plutôt réparties entre les propriétaires de parcelle PRL dans le Tarn, au prorata de leurs millièmes, selon la taille de la parcelle. Durant l’assemblée générale, les propriétaires élisent un conseil syndical qui vérifie un rapport annuel comprenant les dépenses réelles et les provisions appelées. Ces charges désignent, notamment, le salaire du gardien, le salaire du jardinier, la collecte des ordures ménagères, la consommation d’eau et d’électricité, l’antenne collective, la connexion wifi, l’entretien de la piscine, les contrats d’assurance, ainsi que les honoraires du syndic qui effectue les comptes en fin d’exercice annuel comptable. En général, ces charges sont situées aux environs de 60 euros à 80 euros par mois.
Les taxes
Normalement, les habitations légères de loisirs dans le Tarn sont exonérées de la taxe d’habitation, car celles-ci sont définies comme étant des biens meubles. Or, l’article 528 du Code Civil indique que les biens meubles sont ceux qui peuvent être transportés d’un endroit à un autre, ceux qui peuvent se mouvoir eux-mêmes, ou ceux qui peuvent se déplacer grâce à une force étrangère. Ainsi, c’est la présence ou l’absence de mobilité qui intègre ou non les propriétaires de HLL parmi les redevables de la taxe d’habitation. Vu que les habitations légères de loisirs ne sont pas soumises à la taxe d’habitation, elles doivent, néanmoins, s’acquitter d’une taxe de séjour forfaitaire.
Pour ce qui est de la taxe foncière sur les propriétés bâties, elle est imposable aux constructions, dont les fondations sont fixées au sol, telles de véritables bâtiments. Ainsi, les HLL qui disposent de ce type de fondation ou d’une assise en maçonnerie impossible à déplacer doivent s’acquitter de la taxe foncière. Dans le cas où les HLL sont exonérées de la taxe foncière sur les propriétés bâties, la parcelle PRL dans le Tarn sur laquelle repose l’habitation sera passible de la taxe foncière sur les propriétés non bâties.